OPENING OUT - Cabinet Conseil en Communication et Créativité by @aludv :
Organisation Evénementielle / Communication interne et externe des entreprises (orale, écrite, sonore et vidéo) / Production, gestion et rédaction de contenus / Coaching d’entrepreneurs : Perfectionnement à l’expression orale et à la prise de parole en public / Management et Mise en avant des talents et du potentiel créatif des individus au sein des entreprises.
Et quand on est « pluridisplinaire », ce n’est
pas si facile ;-) !
Alors… pour répondre à cette question, j’ai décidé de regrouper les descriptions de mes activités
professionnelles et bénévoles en un seul espace : www.aludv.com.
Et comme j’étais
partie sur ma lancée j’y
ai mis aussi mes convictions, mes envies, mes compétences, mes kifs etc...
Pourquoi ? Parce que je considère que nous sommes un ensemble de
« richesses », et, lorsque j’interviens pour accompagner un
client, une entreprise, une organisation… je le fais « entièrement »,
avec toutes les facettes de ma personnalité, en me servant des enseignements
que m’ont permis d’acquérir tous les événements qui ont jalonné mon
parcours de vie.
Vous retrouverez plus précisément les infos qui concernent Opening Out ICI et ICI !
Il est de notre responsabilité à tous d’offrir à nos enfants, aux enfants de cette planète le droit de mourir de vieillesse !
Je suis horrifiée par les actions meurtrières des intégristes religieux, je suis horrifiée par tous ces migrants qui meurent noyés pour fuir l’horreur, et ce dans une indifférence politique quasi totale, je suis horrifiée quand on tue la liberté d’expression… Je suis horrifiée quand un homme ouvre le feu sur ses semblables, tuant un bébé de 6 mois et sa famille... Et je suis terrifiée par le fait qu’un jeune homme de 19 ans se prenne une balle à la sortie d’une fête parce qu’il était au mauvais endroit, au mauvais moment…
Va-t-on accepter de vivre ainsi dans la peur du terrorisme, de la guerre, des cinglés armés ? Va-t-on continuer de se croire « protégés » parce que ça n’arrive qu’aux autres ?
Non… Ça n’arrive pas qu’aux autres !
Maxime avait 19 ans, c’est le fils de l’amoureux de ma petite sœur… Il n’est pas terroriste, pas migrant, pas bloggeur en Arabie Saoudite… Il sortait d’une fête d’anniversaire dans une ville tranquille du Pas de Calais… Il a pris une balle.... Il est mort.
Je l’écrivais sur mon mur Facebook après l'attentat contre Charlie Hebdo « plus que jamais je décide que mes pensées, mes paroles et mes actions contribuent à construire un monde meilleur. »… La mort de Maxime, la mort de cette jeunesse, renforce ma détermination ! Je ne quitterai pas cette terre sans avoir tout fait pour que la Paix ait avancé, plus que la violence… Pour cela, je changerai mon cœur, jour après jour, pour avoir le courage d’encourager le plus grand nombre de personnes à faire de même.
Cette période de l’année est pour moi, une période, où
j’aime « faire le point », un peu comme je faisais le bilan avant la
rentrée scolaire, il y a quelques années :)
Comme à chaque fois,je regrette de ne pas pouvoir dégager plus de temps pour écrire sur ce
blog plus souvent… une partie de mon activité étant d’écrire pour mes clients…
ceci explique cela !
Mais une fois n’étant pas coutume, je m’autorise à écrire
quelques lignes juste histoire de faire un petit bilan de mes aventures de
consultante durant ces derniers mois :)
Il est important de visualiser
tout ce que l’on accomplit et de réaliser que les vacances que l’on s’est
accordées étaient bien méritées !!
Le mois de mars a acté la fin d’une intervention de 14 mois
pour un de mes clients. Après l’audit communication, et l’accompagnement de la
structure sur différents chantiers, un changement à la direction générale de la
structure a créé l’occasion de me « libérer » du temps et de vivre
d’autres aventures !
Mais avant de conter ces nouvelles aventures, en cette
première partie de 2015, j’ai de nouveau consacré du temps, et éprouvé beaucoup
de joie, à coordonner la 3ème
édition du Challenge Jeunes Talents pour Pictanovo.
Je le dis à chaque fois, mais quel bonheur de mettre en lumière cette jeunesse
pleine de talents ! Parce que Pictanovo me fait confiance depuis 2013 sur
cette mission, j’ai l’immense plaisir d’avoir contribué à créer ce concours et
je l’avoue (humblement), j’en suis fière ;)
Je vous invite vivement à vous promener sur le BLOG et sur
la PLATEFORME de l’édition 2015, vous y verrez à quel point les 40 projets, qui
ont candidaté cette année, sont créatifs !
Aller… Je ne résiste pas et partage avec vous le webreportage, réalisé par
Pictanovo, le jour de la finale ;)
Et si, soutenir la jeunesse vous tente aussi, retrouvez le
Challenge Jeunes Talents sur Facebook et Twitter.
De mars à juin, j’ai mis mon costume
« d’intervenante » et j’ai eu l’immense joie d’intervenir à l'ISCOM pour « essayer » de convaincre 4 classes de 1ère année que la
« méthodologie du travail » avait une réelle utilité :-)
Les clés pour vaincre la procrastination, mieux se connaître pour mieux
mémoriser et étudier les Intelligences Multiples (linguistique,
logico-mathématique, musicale, visuelle-spatiale, kinesthésique, naturaliste,
interpersonnelle et intrapersonnelle), les techniques de communication pour
mieux travailler en groupe, et bien évidemment, plus classique, la bonne
vieille et indispensable fiche de lecture ou le rétroplanning…
Une belle expérience ! Il ne fait aucun doute qu’intervenir auprès de la
jeunesse a quelque chose de vraiment kiffant !
En mai, l’application « Les Sansoucis en forme » a été lancée sur l’Apple store et a été téléchargée plus de 50 000 fois en 2 mois !
Outre le plaisir d’accompagner Sans Soucis Productions dans cette aventure et de voir combien cette application, conçue par Catherine Leguen avec l’aide de 3D DUO, a séduit les internautes… J’éprouve une affection particulière pour ce
projet, parce qu'il est d'une grande qualité, que je sais à quel point sa créatrice y met tout son cœur... et sans
doute aussi parce que je suis « la voix » de Paulette, dans sa
version animée !
Vous ne me croyez pas ?
Pour la peine, en exclusivité, vous pourrez constater par vous même en
visionnant cet épisode que je dis la vérité ;)
Parmi, mes dernières missions, je me permets encore
d’attirer votre attention sur Talents Around, une plateforme de mise en relation de jeunes talents créatifs
avec le monde professionnel. Le défi des 2 fondatrices de cette belle idée est
de proposer, aux talents : - Un réseau important de clients à leur disposition
et à tout moment grâce à son application mobile. - Des missions correspondant parfaitement à
leur profil
- Un accès 100% gratuit et simple
Et aux entreprises (de la Start-up au Grand Groupe) :
- Les meilleurs talents créatifs en un clic
- Le talent qu’il leur faut grâce au système unique d'algorithmes, propriété de
Talents Around
- Une plateforme simple, intuitive, rapide avec son application mobile et son
service de géolocalisation
Et hop, quelques petites images, vous présenteront le
concept en 1 minute 20.
Comme régulièrement, en plus de tout cela, j’ai « prêté »
ma voix à plusieurs de mes clients et j’ai organisé des séances
d’enregistrements multilingues pour un grand groupe...
Si on en croit les buzz que l’on a pu observer sur la toile ces dernières semaines… Si tu veux faire du buzz, fais un happening dans le métro !
Et oui, le métro est un symbole, non LE SYMBOLE, de la « non-communication ». Les gens s’y entassent pour leur train-train : métro-boulot-dodo et surtout : ils ne sourient pas… Voir même, ils sont carrément indifférents à ce qu'il se passe autour d'eux !
Et en avril, quasiment la même semaine on a pu observer 2 vidéos qui ont été tournées dans le métro et qui on atteint, en grand nombre, les viewers de la toile, car elles nous proposaient un monde où l’humanité serait de retour, même dans le métro…
Dans celle-ci, un homme fait danser une rame au son de Boney M… Joie et sourires sur tous les visages et l’on se dit "wahou, c’est aussi ça la vie" et à la fin… on découvre quand même que c’est une start-up qui a pris cette initiative, car dit buzz dit pub aussi ! ;) Bien joué donc Tracktl ! Evidement, à la suite de la viralité confirmée de cette vidéo, les articles à propos du « fake » présumé de la spontanéïté des gens dans le métro n’ont pas manqué de faire tapoter les claviers ;) .
Ce happening n’est d’ailleurs pas sans nous rappeler une autre vidéo qui a circulé sur le web quelques semaines auparavant, celle de la performance de l’artiste Peter Sharp, « Social Artist », dont la mission est de faire danser all over the world et dans tous les lieux… cette vidéo nous montre qu’il l’a fait, lui aussi, dans un train sur Earth Wind and Fire… ressemblance ? ;)
Mais dans métro, on ne fait pas qu’inviter les gens à danser pour faire du buzz, on peut aussi y envoyer sa responsable RH pour dire que l’on propose des emplois ! C’est ce que Michel et Augustin ont fait ! Habitués à diffuser une communication décalée qui ne se prend pas au sérieux, les trublions du goût ont encore réussi leur coup avec cette vidéo qui n’a pas manquer de faire le tour de la toile !
Le manque de sourire dans le métro a déjà aussi inspiré « l’ami du petit déjeuner », Ricorée, qui nous assure que si on en boit, du Ricorée, et ben, grâce à nous, toute la rame de métro retrouvera sa part d’humanité :)
Pourquoi ça marche tout ça ? Nul doute que nous sommes beaucoup à aspirer à un monde plus en paix où même le métro sera un lieu, où le sourire retrouvera sa place, qui ne symbolisera plus le lieu privilégié des « harceleurs de rue »…
A votre avis quel sera le prochain lieu public où il fera bon buzzer ?
3ème
article écrit par Anaïs que je partage avec vous ici…
En
le lisant avant de le mettre en ligne… Je dois l’avouer : J’ai été
bluffée.
Pour
ceux qui n’auraient pas encore découvert les 2 premiers articles d’Anaïs
partagés (ici et ici), je re-précise qu’Anaïs est en 1ére année communication à
l’IUT de Tourcoing…
Elle
nous montre ici, en quelques mots, que pour tous ces jeunes qui s’apprêtent à
prendre les rennes du monde de demain, la « Communication–Collaboration–Création »
est presque une capacité innée… Cela rassure !
Et
pendant ce temps-là de grands conférenciers reconnus et autres consultants (qui
ont mis des années à comprendre la nécessité de propager ces concepts - sans
pour autant se les appliquer…) se remplissent les poches en osant faire croire
qu’ils ont tout compris… Alors que la seule vraie capacité que l’on pourrait
leur accorder est éventuellement celle d’avoir su « observer »…
Merci
Anaïs pour cette analyse pleine de fraîcheur et de bon sens !
Anne-Lucie m'a
mise au défi d'expliquer « Pourquoi a-t-on intérêt à stimuler,
reconnaître et valoriser la créativité de ses collaborateurs ? ». En
dépit de mon expérience limitée, j'ai relevé le challenge en me renseignant à
partir de quelques articles et en me creusant un peu les méninges.
De
nos jours, la créativité est essentielle, dans un monde toujours plus
compétitif. D'ailleurs, plusieurs entreprises l'ont bien comprise, Google en premier. Qui n'a jamais entendu parler de leurs massages gratuits et des
20% du temps libérés pour travailler sur un projet personnel ?... Même
si l’on se doute que tout n'est pas si idyllique que cela le paraît.
Aujourd'hui,
les articles sur les nouvelles méthodes de management sont fréquents et reflètent
l'intensive recherche du « neuf » chez les multinationales. Mais pas
obligé d'être un grand groupe pour stimuler la créativité de ses
collaborateurs...
C'est
souvent l'élément (la créativité) qui fait la différence sur le
marché. C'est généralement ce que le client recherche, en nous demandant
de lui sortir quelque chose de différent que lui ne pourra pas produire.
«
Être créatif, cela peut être intuitif, mais ça se travaille aussi »
C'est ce que l'idée que l'émission PUZZLE essaye de transmettre.
Dans
cette vidéo intitulée « La créativité, ce fantasme ? », les
professionnels déclarent que le côté créatif dépend de l'éducation et que donc
nous ne sommes pas égaux devant la créativité. Il est difficile de la
générer, car nous avons des qualités et des talents différents, mais nous
pouvons développer notre potentiel en reconsidérant nos idées admises et en
stimulant notre imaginaire. Les idées sont là, il faut juste
réorganiser notre regard pour les révéler. Mais avant tout, pour être
créatif, il faut d'abord prendre conscience de notre potentiel créatif.
Je
dirais même plus : prendre conscience de notre potentiel créatif et
de celui des autres !
Et
pour cela, il faut savoir reconnaître lorsque l'un de nos collaborateurs a une
bonne idée qui sert à notre but commun, mais surtout, le lui dire. Rien de
mieux que de recevoir un compliment d'un de ses collègues. Ça donne un
sens à notre travail et c'est un premier pas vers la bonne ambiance,
stimulateur de créativité.
C'est
vrai, on est plus créatif dans un environnement où l'on est à l'aise, dans
l'humour et la bonne humeur : travailler doit être un
plaisir. Sans oublier bien évidemment l'un des ingrédients les plus
importants de la productivité : le repos. S'accorder un break
une fois de temps en temps ne peut pas faire de mal, non ?
Lorsque
l'on a une nouvelle demande à satisfaire, une nouvelle idée à trouver… pourquoi
ne pas se tourner vers les autres ? L'objectif est collectif et,
c'est bien connu : plusieurs cerveaux valent mieux
qu'un ! Le partage des acquis et expériences de chacun peut être très
enrichissant, et même donner de nouvelles idées à quelques uns.
On
peut utiliser la technique du Brainstorming pour mettre toutes nos idées en
commun et en faire émerger des neuves. Et si on ne maîtrise pas la
technique ou qu'elle est mal adaptée à la situation, il existe plusieurs autres
méthodes pour mettre les idées à plat.
Selon François Bernard Malo, le second ingrédient d'une bonne stimulation de
créativité, après l'environnement favorable. (Voir son article
« Comment stimuler la créativité de ses employés ? » ICI
Et
puis, il est souvent utile d'apporter un regard extérieur aux idées que l'on
crée et considérer que les propositions que vous faites peuvent devenir utile à
votre collaborateur.
Il
faut utiliser les talents de chacun,
comme l'explique Kare Anderson dans sa conférence
« Be an opportunity maker ».
Elle y parle de
« Faiseurs d'opportunités » : ce sont les personnes qui
cherchent le meilleur talent de chacun pour le bien commun et
accomplir ce qui est impossible de faire seul. Elle affirme
« Chacun d'entre vous est meilleur que n'importe qui d'autre à quelque
chose ».
Stimuler
la créativité, c'est aussi encourager la prise de risque. En
effet, la prudence et la sécurité ne sont pas très favorables à
l'innovation.
Ce processus permettra sûrement (s'il est réussi) à attirer de
nouveaux demandeurs. Ce sera l'occasion de complimenter vos collaborateurs
sur leur travail pour améliorer leur confiance en soi. C'est, à mon humble
avis, ce qui freine la créativité : croire en ses
capacités. C'est ce que la prise de risque peut améliorer si elle réussit.
Sinon ? Et bien, en cas d'échec, il faut encourager tout le monde à se
remettre en selle et à tirer des enseignements de cette défaite pour
mieux réussir plus tard.
Chacun
doit participer pour stimuler, valoriser et reconnaître la créativité d'un
autre, pour les simples et bonnes raisons que cela permet être compétitif,
d'instaurer une bonne entente, de donner un sens à notre travail et, peut-être,
d'attirer de nouveaux clients...
Anaïs GRUSON Étudiante en communication à l'IUT B de Tourcoing
2ème exercice de rédaction que j'ai proposé à Anaïs en stage avec moi durant 4 semaines... Après son article sur "La journée de la Femme", pour celui-ci, elle avait pour thème imposé : Le Buzz
La place du buzz dans nos vies d'aujourd'hui
Si
je devais définir le buzz, ma définition serait : une information, un élément
ou un événement qui, en peu de temps, devient populaire au sein d’une
communauté. Le buzz peut devenir une nouvelle tendance, un média vu des
milliers de fois ou tout simplement, une news perçue d'un bon ou d'un
mauvais œil.
D'ailleurs,
qu'est-ce qui différencie un bon ou mauvais buzz ? Pourquoi les
internautes s'intéressent à un « élément » en
particulier ? Il est certain qu'un clip parodié sur toute la planète
est perçu différemment ce la vidéo montrant un chat jeté sur un mur... Le good ou bad buzz se fait en fonction des réactions du
public. Il peut provoquer le rire, le débat ou bien nous inciter à faire une
action, ou encore à changer notre comportement.
Une foule qui dénonce le « fait » n'est souvent pas un bon buzz.
Mais un mauvais buzz,
peut-il bien servir la communication ?
Il est clair que le bad buzz ne donne pas une très bonne image de
celui qui en est à l'origine, mais il peut tout de même bénéficier de la notoriété dont il
fait l'objet, peut-être pour se racheter une conduite. Toutefois, si le
buzz est conséquent, alors l'image du "buzzé" sera entachée tant que les gens se
souviendront de ce fait.
Mais un bad buzz pour certains peut être bénéfique pour d'autres : c'est
un moyen pour certaines organisations de faire passer un message, de servir à
leur communication, en utilisant une référence à un élément auquel le public
s'est intéressé - et le principe est le même pour le bon buzz.
Pour
l'exemple du bad buzz qui devient bénéfique, je citerai cette chanson des enfoirés
« Toute la vie » qui, suite à la polémique qui a pris une ampleur bien trop
indécente, a propulsé la chanson à la 18éme place du classement des
ventes de single (rappelons qu'ils font cela pour financer une association
caritative et qu'ils sont les seuls à le faire).
Le
phénomène du buzz né grâce des médias et souvent du flux d'infos sur internet,
des réseaux sociaux.
Celui qui l'a bien compris, c'est Youtube. Depuis quelques années, le
site profite de ce concept et n'hésite pas à rappeler à aux internautes qu'il est
souvent à l'origine des news (et donc des buzz) : chaque fin d'année, la plate-forme
publie une vidéo regroupant les buzz de l'année écoulée. Ce système
marche plutôt bien étant donné qu'à ce jour, la vidéo 2014 a été vue près plus de 87
millions de fois.
Certes,
c'est sûrement un moyen pour le site de faire plus de vue, mais c'est aussi un
moyen de se remémorer toutes les tendances dont on a été
« victime » (lorsque je dis ça, je pense surtout au
« Ice Bucket Challenge », seau d'eau glacé que l'on s'est
balancé sur la tête et dont on aimerait bien oublier la vidéo
partagée ^^)
Néanmoins,
le harlem-shake, l'application dubmash et le
« Call me Maybe » sont-il vraiment définitivement tombé
aux oubliettes ?
Visiblement, le buzz est, par définition, éphémère. Il faut donc monter
dans le train en marche pour être dans la « tendance ». On peut aussi
se dire que certains buzz sont passés à travers les mailles du filet et se
sont encrés dans nos vies, si bien que l'on ne se rend plus
vraiment compte qu'ils n’en faisaient pas partie il n'y a encore
pas si longtemps. Difficile de trouver des exemples tellement il y en a
peu. Le buzz s’oublie…
Cependant le « Non mais allô
quoi ! » de Nabilla qui a - on se demande vraiment
comment – retourner la langue française et que l'on sort lorsque l'on
veut faire rire un de ses amis ou encore pour taguer sur les réseaux sociaux où
le #Nonmaisallôquoi une situation invraisemblable, est encore souvent utilisé…
Même
si né suite à une tragédie, aujourd’hui porteur d’espoir, on peut aussi
considérer le « Je suis Charlie » comme un buzz qui restera dans
l’histoire étant donné qu'il fut très utilisé sur les réseaux sociaux
(#JesuisCharlie fut tweeté plus de 5 millions de fois dans le monde entier).
Cette expression reste encore aujourd'hui le symbole de la lutte pour la
liberté d'expression et de l'espoir pour la lutte anti-terroriste.
Le
buzz est utilisé aussi d'un point de vue marketing. Pour reprendre l'exemple de
Charlie Hebdo, plusieurs personnes ont voulu déposer la marque pour se
faire des bénéfices (révélant le niveau d’éthique (très bas) de certains individus selon moi).
Le
phénomène du Buzz est aussi devenu une technique de communication pour
atteindre les internautes juste pour faire parler du produit (comme la
fois où Carambar a déclaré remplacer ses blagues à deux balles -
mais attachantes – par des contenus éducatifs).
Alors
le buzz est-il semblable à un sandwich Subway, déclinable en plusieurs
versions : permanent ou éphémère ? Plus ou Moins
populaire ? Bon ou Bad Buzz ?
Quel
jugement doit-on porter sur le principe du buzz ?
Personnellement, je
pense qu'il est essentiel de prendre du recul par rapport à tout ça, tout en
s'intéressant à la réaction des gens. Il est parfois aussi captivant de prendre
part à cela et de ne pas rester de glace.
En tant que communicant, il nous faut être à l'affût de l'actualité, quelle
qu'elle soit…
Anaïs GRUSON Étudiante en communication à l'IUT B de Tourcoing