lundi 4 novembre 2013

Happier, le réseau où le bonheur et ses petits moments sont à l'honneur

Happier (pour "plus heureux"), est un réseau où l'on vous invite à partager uniquement vos moments positifs de la journée pour mieux les apprécier et ça marche ! J'ai testé pour vous... euh, je veux dire pour moi ;)

C'est sur le mur Facebook de 3 kifs par jour que j'ai capté la nouvelle à la fin du mois d'août dernier. Un article de Slate.fr expliquait que ce nouveau réseau était consacré aux petits moments heureux de la vie... Tiens voilà qui m'intéresse !

A ceux qui partagent déjà leur moments de bonheur sur Facebook, Twitter, Instagram, etc...
Nataly Kogan expliquera que sur ces réseaux là, il y a aussi le "malheur" qui prend de plus en plus de place et surtout que l'on n'ose pas (de peur de saouler ses "amis") partager qu'on a pris 5 minutes pour souffler dans une journée de folie, qu'on adore marcher sous la pluie ou que votre amoureux vous a fait couler un bain... 

Happier ne fait pas concurrence (d'ailleurs vous pouvez depuis Happier partager sur Facebook et Twitter) il complète les autres réseaux et n'assure qu'une fonction : être l'endroit où vous trouverez des moments de bonheur et où vous partagerez les vôtres (sans peur que l'on se "moque" de vous).

Puéril ? Un peu niais ? Pas si sûr ;)... 
Pour preuve, le fait que sa fondatrice ait pensé que la "cible" était "l'américaine moyenne de 18 à 35 ans" et que sur Happier il y a des hommes et des femmes de tous les âges et de nombreux pays. Comment je le sais ? Et bien parce qu'ils sont dans mes "amis" pardi !
Et oui, depuis tout début septembre j'ai ajouté un réseau social à ma liste dans le but de tout vous raconter et très vite j'ai kiffé à fond les ballons !
Et quand je dis "ballons" je ne plaisante pas !

A chaque fois que vous partagez un "happy moment" votre écran se remplit de petits confettis pour célébrer la bonne nouvelle et à partir de 3 moments partagés... c'est carrément une petite animation qui vous dit combien vous êtes "Awesome", autrement dit "Génial", et qui, en plus des confettis, fait voler des ballons, des poissons et bien d'autres choses encore ! Et vous pouvez rejouer cette "animation" autant que vous le voulez ! Et ça marche !


Vous vous surprenez à être super content de voir des confettis envahir votre écran, les ballons rebondir et des poissons faire de bulles ! On vous dit que vous êtes génial de prendre "soin de vous" en  faisant des choses qui vous plaisent et ça vous fait plaisir !!! C'est fou, non ?






Et à force de partager sur Happier, vous avez plein de moments joyeux "tagués" dans vos collections, que vous pouvez "nommer" si celles proposées ne sont pas assez précises pour "classer" vos bonheurs.






Et tous les 25 moments partagés, youpi ! Encore des confettis qui vous disent combien vous êtes génial(e) d'avoir partagé ces moments, et combien c'est chouette et important de partager ses moments heureux ! Et vous pouvez (I did it) partager que cela fait déjà "tant" de moments heureux que vous partagez sur Happier (parce que avez fait une capture d'écran au moment des confettis, vous me suivez ?) !

Mais quand vous partagez, au delà de vous permettre à vous de réaliser que votre journée était remplie de petits bonheurs (qui font les grandes rivières) et bien vous faites sourire des gens ! 

Votre bonheur donne du sourire aux autres... c'est pas génial ça ! Et même à des gens que vous ne connaissez pas (enfin je veux dire qui ne sont pas dans vos contacts) quand vos "happy moments" sont visibles en "discover" (sauf si vous avez classé votre moment en "private" of course !)

Et sérieusement, je trouve ça assez génial de recevoir des notifications qui vous disent "ton moment joyeux à faire sourire untel" (euh... y a pas à dire ça fait mieux en anglais !)

Et oui sur Happier all is in english for everybody ! Et c'est super cool, parce que vous "practice" votre english et c'est super good ! Bon sauf quand vous avez des amis (contacts) qui parlent la même langue que vous et que ce n'est pas l'anglais (évidemment) mais si le but est de partager avec le plus grand nombre... It will be in english !

Bien évidemment comme sur les autres réseaux on peut "taguer" ses amis/contacts dans une publication.

Mais que se passe t-il quand vous n'avez pas eu le courage, ni l'envie, ni la joie de partager sur Happier une journée ? Et bien Happier se rappelle à vous, avec des petites notifications sympathiques, et argumente sérieusement ! Parce qu'il est scientifiquement prouvé que partager ses moments de bonheur rend heureux et que la reconnaissance du positif amène le positif pour soi et pour les autres ! Une théorie de psychologie (positive) que défend également Florence Servan-Schreiber et ses 3 kifs par jour (Ah ? tiens ! j'avais déjà écrit un article sur le sujet pour le mag de Spotwork ;))


En panne d'inspiration pour trouver des "happy moments"...
Pas grave ! Happier vous aide à trouver vos "kifs" du jour et vous fait des suggestions tout près du bouton " Share more happy" :
- Est-ce que t'as reçu un e-mail ou un texto qui t'a fait sourire ?
- Les amis, c'est génial. T'en as croisé un récemment ?
- T'as mangé quelque chose qui a rendu tes papilles heureuses ?
- Et si tu prenais un moment pour respirer et aller faire un petit tour ?
- Est-ce que tu portes quelque chose que tu aimes ou qui te fait sourire ?

- T'as remarqué un truc que tu voyais pas avant et qui te fait sourire ?
- T'as coché des trucs sur ta to-do list et tu te sens productif ?
- Quelqu'un t'a fait sourire ? Partage un moment à ce sujet !
- Est-ce que ton boss ou un collègue ont fait un truc pour que tu te sentes bien ?
- Est-ce que tes enfants ont fait un truc qui t'a fait rire ?
- T'as entendu ta chanson favorite ou découvert une nouvelle ?
- Un compliment de la part d'un inconnu ou d'un ami qui t'a fait sourire ?
- Un ami ou un membre de ta famille a fait un truc que tu apprécies particulièrement ?
- T'as dîné ou pris un café avec un ami ?
- T'es joyeux à l'idée de commencer un nouveau livre ou un travail créatif ?
- Y'a un truc que tu as accompli et dont tu es fier ? Partage-le !
- T'as vu un truc cool, marrant ou génial et tu veux t'en rappeler ?
- ...

L'équipe d'Happier vous envoie aussi des mails pour vous proposer des petits challenges à relever, comme faire plaisir à quelqu'un avec moins de 5$, partager un moment qui vous rend heureux d'être parent... ou encore vous rappelle 10 façons d'être plus heureux.


Ah ! oui ! Il y a aussi un profil qui s'appelle "Happier Visualizations", qui, si vous devenez "amis" avec, vous crée votre nuage de mots depuis les textes de vos "happy moments"... Et j'ai eu droit au mien ;)

Pour que mon enquête soit totalement complète, un jour, j'ai fait une expérience (si, si !); J'ai partagé la même chose sur Facebook et sur Happier, pour comparer les réactions (quelle audace, non ?)... Bref...
Ce jour-là...
Sur Facebook (où je suis depuis 2010) j'avais 326 amis (dont moins de 10 que je n'ai jamais rencontrés dans la vraie vie - celle où on parle aux gens en face de nous physiquement je veux dire)
Sur Happier (où j'étais depuis 1 mois) j'avais 98 personnes que je suivais et 92 qui me suivaient (et seulement 2 que j'ai rencontrés dans la vraie vie)
J'ai fait 3 posts :
1 - Ma séance de sport du jour
2 - La belle vue que j'avais de ma fenêtre
3 - le nombre de kilomètres que j'avais marchés depuis 8 semaines
Et bien sur Facebook, j'ai eu 30 "j'aime" et 4 commentaires et sur Happier 31 "smile" et 4 commentaires. On réagit donc, sans aucun doute, plus au bonheur sur Happier qu'ailleurs !

Ce qu'Happier vous propose encore c'est d'acheter des stickers, pour 10 $ (même si vous n'habitez pas aux USA), à coller où vous voulez pour interroger, sensibiliser les gens sur ce qui les rend heureux, et tant qu'à faire partager l'endroit où vous les avez collés sur Happier avec une petite photo ! Et oui, j'ai craqué et j'ai acheté mon kit, que j'ai reçu il y a quelques jours... A moi la Happier propagande ;) !


Au vu de mon roman fleuve, vous l'aurez compris, j'ai adopté Happier et même les jours où je n'ai pas le temps de partager mes "happy moments", il m'arrive de prendre quelques minutes pour poser des "smille" sur les moments que les autres partagent. Ça fait du bien de trouver, sur la toile, un endroit où les moments heureux sont importants, où l'humeur qui domine n'est pas celle de la moquerie, du racisme et autres énergies négatives. Il faut de tout pour faire un monde, et la fondatrice de Happier l'a compris, il faut aussi nous accorder du temps pour voir les belles choses de la vie. Etre heureux ne se résume pas à la somme d'argent que l'on a sur son compte et notre position dans la société.
D'ailleurs, Nataly Kogan ne doit pas être la seule à le penser car elle partageait sur son profil, il y a peu, qu'Happier était classé dans les 50 meilleures applis du moment... Intéressant, non ?


Et pour l'anecdote, sur ce réseau mondial où l'on parle anglais, le hasard a fait que dans mes contacts il y a un français qui vit dans la même région que moi (et ce n'est pas Paris ;) et qui travaille dans un secteur qui fait aussi partie de mes (multiples) activités... Le monde est petit ? Certainement ! Avec des millions de gens susceptibles de partager leur moments de bonheur pour contaminer la planète ? Assurément !


Aller, pour finir de vous mettre dans l'ambiance, je vous propose de regarder le TEDxTalk de Nataly Kogan, la fondatrice de Happier. Un régal !



Alors l'aventure vous tente ? On se retrouve sur Happier ?


dimanche 3 novembre 2013

Pute, salope, petite conne, guenon... What else ?

Dans mon boulot, il y a la nécessité de faire de la veille, de suivre ce qui ce dit dans les médias et sur les réseaux sociaux...

Comment dire... Cette action "m'oblige" à être en contact avec un flot d'informations que l'on peut considérer comme "négatives"...

Alors oui, moi qui défends le potentiel de chaque individu (et l'être humain en général), la possibilité qu'il a de révéler tout son talent... Moi qui encourage chaque structure que j'accompagne à révéler son "humanité" avant tout, pour que ses salariés et ses clients se reconnaissent en elle... Moi qui sais que nous ne vivons pas dans le monde des bisounours mais que notre monde peut évoluer positivement si nous nous connectons au meilleur de nous-mêmes... Ces temps-ci, on peut dire que je suis servie ! 

Allo ? C'est vraiment tout ce que l'on a à proposer ?

Se rappeler que les femmes en France pour avoir le droit à l'avortement (ce qui est a été une lutte essentielle et ce qui est encore une lutte vitale dans d'autres pays) ont été traitées (même si avec humour) de "Salopes".
Constater que des hommes pour justifier le droit à la "Pute" s'auto-traitent de connards ou de salauds.
Voir que des célébrités signent et "dé-signent", parce que c'était juste une blague... et je suis de ceux qui trouvent que l'humour sans tabou de Nicolas Bedos contrebalance souvent de façon culottée (et juste) le comportement de l'intelligentsia politique et de la jet-set, dont il fait partie...

Savoir que de nos jours des enfants interpellent les femmes de couleur (ministre de la justice qui plus est) comme si c'était des singes, et entendre en retour qu'on les traite de "petite conne"... et je trouve que la chronique de François Morel est superbement écrite, tellement nécessaire tant il faut réagir au racisme... Mais est-ce en traitant les enfants de "petits cons" parce qu'ils sont élevés par des personnes à l'esprit "exigu" (doublement même, car en plus d'être homophobe, ils sont racistes) qu'on les aide à prendre de la hauteur ? Et sommes-nous vraiment certains que la "connerie" soit réservée à ceux qui mettent leurs enfants dans le privé ?... N'est-ce pas là un cliché ? Un autre...

Sur Twitter, Facebook et autres réseaux sociaux se déversent, haut et fort, le nauséabond, le puant, l'intolérance et la façon dont on bafoue la dignité humaine, ainsi que les réponses ou manifestes de ceux qui s'en indignent... et on continue sa petite vie tranquillou...

Ok, messieurs Bedos et Morel, vous êtes là pour vous lever contre "l'injustice" et oser dire aussi que parfois vous faites des "bêtises"... Et c'est tant mieux !

Ok, mesdames et messieurs les "connus" et "reconnus", vous exprimez que "c'est pas bien", qu'il ne faut pas traiter les femmes noires de "guenon", qu'il ne faut pas traiter les femmes, qui vendent leur corps, de "pute"... Mais après... What else ?

On fait quoi pour que la mère de famille, qui ne peut plus nourrir ses gosses, ne soit pas obligée de vendre son corps en cachette de son mari au bois de Boulogne, ou sur n'importe quelle banquette arrière de voiture ? (d'ailleurs connaissez-vous la chanson "tristes minutes" de Candyce Leflan par Marion Billy)? Je veux dire, on fait quoi pour les prostituées qui n'ont pas de clients "connus" à part proposer de mettre des contraventions à ceux qui les "visitent" ?


On fait quoi pour les enfants noirs adoptés qui vivent au fin fond d'une de nos provinces, où pas un seul autre enfant de couleur ne fréquente les bancs du collège (public) et qui tous les jours encaissent des réflexions racistes ? Je veux dire on fait quoi pour ceux qui subissent le racisme au quotidien et qui ne sont pas soutenus par des discours à l'assemblée nationale ? Les députés ont-ils seulement réalisé ces dernières jours qu'il y avait de vrais racistes en France ?

On fait quoi pour changer les mentalités, les préjugés, la peur de l'autre ?

On fait des campagnes de sensibilisation à l'américaine (fort bien faite d'ailleurs) à la façon de "Real men don't buy girls" ? Ou on parle d'un certain parti extrémiste dans chaque journal télévisé, chaque média, etc... pour lui faire sa campagne gratis ?


On fait quoi les gens ? Hein ?
Je veux dire dans la vraie vie des vrais gens, de ceux qui votent, de ceux qui prennent comme modèle les gens connus ?

Je fais quoi moi sur mon blog où je suis censée partager uniquement mes aventures professionnelles ? Pas grand chose... Je prends quelques instants pour exprimer que la communicante que je suis a bien identifié les buzz du moment (pas de doute), comment les rater d'ailleurs ?
Si je prends un risque en dévoilant des convictions personnelles sur un espace qui se veut pro ?
Oups ! J'ai décloisonné ! Diantre !... Ah ! Au pire ça éloignera de potentiels clients que je n'aurai pas pu accompagner faute de valeurs communes...
Et puis d'abord, pourquoi j'écris sur le sujet alors que je ne suis même pas une "star" médiatique ? Ben... Peut-être parce que je suis une femme qui considère juste que l'on mérite (et ce quelque soit notre couleur de peau) d'autres appellations (je veux dire plus positives) que tous ces petits noms d'oiseaux qui nous feraient presque oublier que "Femme" ça peut être aussi un mot poétique, plein d'amour et de respect (si si je vous jure !).

Suis-je en colère ? Ai-je peur ? Je ne sais pas vraiment, mais si je m'en réfère à ce que je vois sur la toile ces derniers temps, je me dis que pour répondre à la demande quasi permanente de ceux qui sollicitent des communicants, comme moi, c'est à dire "pondre" le buzz tant espéré (!) il faudra bientôt qu'on leur propose des campagnes de comm' racistes, misogynes, sexistes (mais ça, ça existe déjà comme nous le rappelle la militante Caroline de Haas dans cet article), et blindées de "gros mots" aussi, parce que ça circule plus vite que le reste et ça fait plus de buzz. C'est triste, non ? 

La bonne nouvelle c'est qu'un buzz ne dure pas vraiment, ça fait "pschiittt" et puis on passe vite à un autre... La mauvaise c'est que ces "buzz" sont dûs aux actions de "vrais" êtres humains...

Mais je suis une mordue d'optimisme et je fais ma "veille" sur les bonnes nouvelles, les actions qui changent le monde et je vous le confirme... Elles existent vraiment ! Pour de vrai et pas dans un "hypothétique" monde de Bisounours ! Promis je vous en parle bientôt !




mercredi 23 octobre 2013

La première édition de Docu Regio by Pictanovo c'est fini... Vivement la prochaine !

La semaine dernière, je me suis immergée au coeur du "documentaire"... Un monde que je connais bien, au côté duquel je me suis construite, car ma maman est réalisatrice de documentaire... Un monde dans lequel j'ai travaillé lorsque que j'étais directrice de production dans l'audiovisuel... Un monde dans lequel on rencontre énormément de personnes courageuses, déterminées, têtues même, car il faut souvent beaucoup, beaucoup de temps pour qu'un film documentaire passe du statut d'idée à celui de film diffusé... Et on a énormément de chance quand il est bien diffusé et largement vu. La toile a amené de nouvelles "pratiques" et de nouveaux "usages", et aujourd'hui on peut accéder à certains films sur internet... Mais soyons clairs, un film documentaire se fait, avec tout juste assez d'argent pour le réaliser, si un diffuseur TV rentre dans la danse, car l'engagement d'une chaîne vous permet de pouvoir prétendre à certaines subventions sans lesquelles vous ne pouvez pas donner vie "correctement" à votre film.

Pictanovo, dont je vous ai déjà parlé ICI, qui accompagne et cofinance une centaine d'oeuvres audiovisuelles et innovantes chaque année, connait bien cette réalité. Alors, avec 10 autres régions, pour soutenir et encourager une douzaine de projets documentaires, Pictanovo a organisé, pour la première fois cette année : Docu Régio, où producteurs et réalisateurs, en binôme, ont pu suivre 2 sessions d'accompagnement afin de "booster" leur projet.
Une première session leur a permis de travailler sur le fond du projet et sa présentation écrite, et, une deuxième session a concentré les interventions des "tuteurs" sur la préparation du pitch (oral) de chaque projet dans le but de le présenter devant un panel de diffuseurs (venus le jour J en experts pour partager, avec les porteurs, leur retours avisés et constructifs).

Et c'est lors de cette session 2 que j'ai rejoint l'équipe ! Mon rôle a été de compléter l'équipe des "tuteurs" principaux et d'accompagner les porteurs de projets dans la préparation de la présentation de ces films en devenir. Ma mission : Pour chaque projet, un entretien en "individuel" afin de compléter le travail fait en groupe.
Un exercice dense, riche, intense pour les "stagiaires" et les "tuteurs", des rencontres fortes, des personnes parfois stressées, parfois trop confiantes... Et dans tout cela, trouver les mots qui vont le mieux les encourager, qui vont les guider, les soutenir, leur permettre de sortir le meilleur d'eux-même, le meilleur de leur projet pour "embarquer" les auditeurs dans leur monde. Dans ces instants, le nom de ma boite prend tout son sens... Opening Out (qui, je vous le rappelle, se dit d'une fleur entrain d'éclore:))...

Quelle belle mission ! Quel plaisir d'être choisie pour accompagner des personnes afin qu'ils osent se mettre en valeur, dans le bon sens du terme. Quel bonheur de sentir que l'on a permis à un individu de lever un blocage, de mettre en évidence une chose tellement évidente pour lui qu'il ne la voyait plus...
J'ai vraiment vécu cette aventure de l'intérieur et en connaissance de cause, car il y a 12 ans, j'ai moi-même suivi une des formations mise en place par Pictanovo (CRRAV à l'époque) pour pitcher un projet documentaire en anglais... yes I did it !
Chaque projet accompagné durant cette préparation devient un projet que nous voulons voir un jour sur l'écran, tellement, nous le savons, les réalisateurs, pour la plupart, l'ont dans les tripes...

Comme l'a précisé, Vincent Leclercq, DG de Pictanovo lors de la clôture de l'événement : "Cet accompagnement n'est qu'une étape... Le documentaire est un sport de combat... Accrochez-vous !"

Vivement l'année prochaine pour la deuxième édition (croisons les doigts) et merci, grand merci à l'équipe de Pictanovo, une fois encore pour sa confiance et pour ce moment empli de convivialité et d'humanité ! Et un grand merci à mes "comparses tuteurs" pour la belle complicité que nous avons su créer :)

Plus de photos by Pictanovo ICI

Edit du 28/10/13 : Le Communiqué de Presse

mardi 22 octobre 2013

Un film pour témoigner et montrer que le bonheur au travail est une réalité

Oui, je fais partie de ceux qui pensent que le bonheur au travail et en entreprise... C'est possible !

C'est une thématique qui me tient particulièrement à coeur, parce qu'être heureux c'est l'essentiel, n'est-ce pas ? Et il n'est pas rare que lors de mes interventions en entreprise je sensibilise mes interlocuteurs sur le choix que nous pouvons tous faire : être heureux, même au boulot :)

Florence Servan-Schreiber en a fait sa spécialité, sa mission, et invite les dirigeants à faire rentrer la "science du bonheur" en entreprise. « La psychologie positive se concentre sur ce qui marche dans la vie d'un individu, ses points forts plutôt que sur ses faiblesses, son anxiété, son stress... Le bonheur attire le succès, ce n'est pas le succès qui attire le bonheur. Un salarié optimiste est plus chanceux qu'une personne défaitiste. Il réussit mieux sa vie professionnelle. »
Et je vous invite à lire un des articles sur le sujet, que j'ai rédigé pour le magazine de Spotwork, en cliquant ICI :)


Le bonheur au travail est possible aussi quand les entreprises ont fait le choix de "changer la hiérarchie, faire confiance aux salariés, supprimer les contrôles, la paperasse inutile… "

Martin Messionnier a décidé de réaliser un film afin que ceux qui oeuvrent au sein de ces entreprises "libérées" puissent témoigner et nous montrer que leur réussite est une réalité.

Alors oui, il est possible d'innover, de penser d'autres organisations du travail qui conviennent à la diversité des hommes et d'adapter le modèle du fonctionnement de nos entreprises pour que le plus grand nombre de personnes y soient heureuses et s'y réalisent pleinement. "Le bonheur au travail" sera un film témoignage pour partager ces méthodes avec tous.

Et comme je suis convaincue que cette initiative est "nécessaire"... J'ai décidé de soutenir la production de ce web documentaire. Et vous ? L'aventure vous tente aussi ? Si vous souhaitez contribuer au film "Le bonheur au travail" il faut juste cliquer ICI ! On se retrouve dans les listes des contributeurs ? ;)

mardi 8 octobre 2013

Parce que j’ai vu « La vie d’Adèle » …


Ça c’est imposé à moi comme une évidence… Il fallait que je fasse un billet sur le film, sur Ce film… sur LE film « La vie d’Adèle ».

Déjà, même avant de voir le film, la « communicante » que je suis ne pouvait qu’être interpellée par le buzz autour du film. Le « bad buzz », même, pourrait-on dire… Il vous suffira de « googleliser » pour tomber sur les tonnes d’infos qui circulent sur le sujet.

Avant même la Palme d’or à Cannes, les techniciens qui révèlent les conditions de travail, puis l’interprétation des propos des 2 comédiennes principales… La « guerre » médiatique autour de ce film a envahi la toile, les journaux… Comment trouver l‘envie d’aller voir un film où le réalisateur est décrit comme un tyran ? Il est vite fait de se dire que, même si le film est grandiose, s’il a été réalisé dans de mauvaises conditions, pourquoi le cautionner en lui accordant 3 précieuses heures de notre vie ?

Mais, j’ai pour habitude de ne pas me laisser influencer par le regard des autres et, autant que possible, de me donner les moyens de me faire ma propre opinion.

Pictanovo, structure pour laquelle je travaille régulièrement, a coproduit ce film et j’ai donc été invitée à l’avant–première à Lille, vendredi dernier. Allais-je donc y aller ? Sans le savoir encore, j’ai réservé 2 places, au cas où…

Pour côtoyer Pictanovo, depuis plus de 15 ans, et avoir, du temps où je travaillais dans la production audiovisuelle, assisté aux comités de lecture de cette structure qui accorde, ou non, les aides à la production, je savais que souvent les aides accordées aux longs métrages sont la plupart du temps amplement justifiées.
Donc, si Pictanovo avait décidé de soutenir Abdellatif Kechiche, il y avait de grandes chances pour que, rien qu’à la lecture du scénario, ce film soit prometteur. (Découvrez ici l'itw de Vincent Leclerq DG de Pictanovo après la Palme d'Or)

Pour ma part, de ce réalisateur je n’avais vu que « L’Esquive » tardivement, en dvd, et j’avais passé un moment interpellant, et apprécié ce cinéma « vérité ».

Avec mes 2 places réservées, j’ai alors proposé à des ami(e)s de m’accompagner et là, personne n’était disponible, et, plus, certains m’ont confié ne pas vouloir y aller à cause de tout ce qui s’était dit sur le film…
Mais j’aime pas aller toute seule au cinéma, moi ! Alors j’ai regardé la bande annonce...


et j’ai eu envie d’en découvrir plus. 

Le « hasard » a fait que finalement une de mes amies avait réservé aussi… Youpi, nous allions partager ce moment !

« La vie d’Adèle »… Alors Oui ! Nous sommes DANS la vie d’Adèle pendant 3 heures, totalement immergés, un peu voyeurs même, parfois. Adèle, en plan serré quasiment tout le film, remplit l’écran et nous fait vivre toutes ses émotions.

Les scènes de sexe… sont longues, ou plutôt durent aussi longtemps que dans la vraie vie.
Je l’avoue, je me suis demandée pourquoi, quand elle fait l’amour avec son petit ami au début, on est «obligé» de constater que le sexe de son partenaire est en érection.
Et pourquoi la première scène d’amour entre les 2 femmes (qui dure 7 minutes, mais ça je l’ai su après) vous impose de regarder 2 êtres faisant l’amour et jouissant sans cesse comme si vous étiez dans la pièce avec elles. J’ai entendu des personnes quitter la salle à ce moment-là, et, au fur et à mesure de la scène, les gens riaient, mal à l’aise, je présume.

Après, il est vrai que, sans être experte en relation homosexuelle féminine, j’ai eu l’impression (et les lesbiennes qui sont intervenues sur le sujet l’ont confirmé) que la chorégraphie de ces ébats amoureux s’apparente davantage à un fantasme masculin qui visualise 2 femmes en train de faire l’amour qu’à des images fidèles à la réalité. Mais pourquoi penser à tout cela en les regardant ?... Parce qu’on n’a tellement pas l’habitude de voir des scènes de sexe aussi longues au cinéma, et encore moins entre 2 femmes, parce que j’ai pensé à toutes mes amies comédiennes qui m’ont confié combien cela pouvait être difficile d’être ainsi, nue devant toute une équipe technique (mais à priori en entendant Adèle Excarchopoulos, sur France Inter, elle a trouvé ça fun), parce qu’il est difficile de regarder 2 personnes faire l’amour aussi longtemps, si l’on n’a pas des tendances voyeuristes, sans forcer son cerveau à analyser la situation pour sortir de l’émotionnel …

Mais, tout comme ce réalisateur nous montre que, comme dans la vraie vie, ses personnages mangent parfois la bouche ouverte, il nous montre que lorsqu’ils prennent une douche ils se nettoient vraiment, même entre les fesses…

Et je me suis dit, quand la lumière s’est rallumée que ces moments là n’étaient pas indispensables… Mais 4 jours après, je me dis que non, ils ne sont pas « indispensables », mais ils sont un choix artistique, un choix qui nous permet vraiment de rentrer dans la vie d’Adèle, d’y croire, tant aucun détail ne nous échappe… Et oui, dans la vraie vie les gens font l’amour plus de 2 minutes…

Il y a les scènes de sexe, ok,  mais il y a tout le reste, où les acteurs ont un jeu criant de vérité, où l’on rit, où l’on est au bord des larmes, où l’on est mal à l’aise… Comme eux.

Les 2 comédiennes affichent une complicité rarement perçue au cinéma. Léa Seydoux est tout à fait crédible dans ce rôle de lesbienne un peu masculine, artiste peintre (allant jusqu’à prendre des cours de dessin). Ce film a été préparé quasiment sportivement par les comédiens… Mais par dessus tout… Adèle Exarchopoulos, qui crève l’écran pendant 3 heures, est juste… J’ai pas de mot… Excellente, incroyable, monumentale… Je devinais ce que son personnage pensait juste par ce que je voyais dans son regard… C’était juste saisissant… troublant…

Alors, le film a sans doute été éprouvant, je n’en doute pas… Parfois difficile pour les comédiens et les techniciens… Cependant, ne pas aller le voir parce que vous n’avez pas envie de cautionner les méthodes de travail de ce réalisateur (et c’est votre droit) vous privera de voir un des films qui comptera, je pense, dans l’histoire du cinéma et peut-être même de notre société… Cela vous privera aussi de découvrir le talent d’Adèle Exarchopoulos. Et aller le voir, ce sera aussi soutenir toutes les personnes qui ont contribué à ce film, et pour que, s’ils ont souffert à le faire, ce ne soit pas en vain.

Et vous le verrez (j’espère), ce film nous parle aussi tout simplement, d’amour, de passion, d’homophobie, de préjugés, de la difficulté de s’accepter tel que l’on est et de croire en soi, même si notre entourage nous imaginait autrement que ce que nous sommes…

J’aime ce personnage qui veut « juste » être institutrice au milieu de cette bande d’artistes-intellos, parce que, pour elle, le plus important c’est que les jeunes apprennent à  lire et à découvrir la littérature. J’aime la mise en évidence subtile, dans leur couple, d’une qui accepte l’autre telle qu’elle est, sans condition, alors que l’autre la pousse à « se réaliser » dans quelque chose qu’elle n’a pas besoin de faire, juste pour qu’elle soit «artiste» à son tour…

C’est un film qui nous parle de la vie, la vraie… Et « Adèle » est avec moi depuis vendredi, son authenticité et sa sincérité m’accompagnent au quotidien, au point que je pense que nous avons sans doute tous une part « d’Adèle » en nous,… Vous savez c’est l’endroit où l’on ne triche pas avec soi-même.
Alors pour être certaine de pouvoir la retrouver quand cela sera nécessaire, je vais, de ce pas, enrichir ma bibliothèque avec « Le bleu est une couleur chaude » de Julie Maroh qui a inspiré le film. 

Et j'espère, que vous soyez plutôt Sartre ou Bob Marley, que ce film vous touchera de manière positive, comme il l’a fait pour moi. 


mercredi 31 juillet 2013

Au coeur de la créativité régionale avec La Communauté de l'Image en Nord-Pas de Calais by Pictanovo

Dans la série "je prends un peu de temps pour partager sur ce blog les missions de Opening Out"...
Voici le 2ème épisode : Pictanovo.

Pictanovo, né de la fusion du CRRAV et de Pôle Images, accompagne et co-finance la communauté de l'Image de la région Nord-Pas de Calais. Et j'ai la chance, avec Opening Out, t'intervenir régulièrement pour cette structure pour laquelle il est bon de travailler ! Car travailler pour une structure quand on vous fait pleinement confiance, n'est plus un travail mais du plaisir :).

Je vous avais d'ailleurs déjà parlé ici d'une de mes précédentes missions pour Pictanovo (à l'époque encore Pôle Images).
Il y en a eu d'autres depuis  :

En novembre dernier avait lieu la première édition du concours Protopitch, un concours pour les projets innovants dans les industries créatives. Ce concours organisé par Pictanovo permettait à 6 finalistes de pitcher leur projet en public et devant des professionnels. Et... Qui a préparé les équipes à leur intervention en public ? Opening Out ! Ça a été une merveilleuse aventure. J'adore mon métier, tant il me permet de rencontrer des personnes, des projets, des idées toutes plus différentes et créatives les unes que les autres !
6 équipes, 6 projets... mais plus que de longs discours... regardez la vidéo (concoctée par Opening Out et RVidéo)
Vous pouvez aussi découvrir 2 de ces projets en cliquants Ici et Ici.



Retour en images sur la journée "Innovez dans les Industries Créatives" et le concours ProtoPITCH from Pictanovo on Vimeo.

Depuis avril dernier... Pour Pictanovo, Opening Out intervient pour Le Challenge Jeunes Talents, cette fois-ci depuis le début de l'aventure ! Et encore une fois, quelle chance de mettre en place et coordonner un concours qui met en lumière les jeunes talents dans les domaines de l'image et des nouvelles technologies !
En septembre prochain, lors de la journée annuelle de Pictanovo, 9 finalistes, parmi les 20 nominés, pitcheront leur projet en public (après quelques séances de coaching par Opening Out). Mais en attendant ce grand jour, jusqu'au 31 août les internautes élisent leur projet préféré ! Vous voulez soutenir la jeunesse et voter aussi ? Alors cliquez et votez Ici et Ici ! Et pour découvrir tous les projets, qui nous montre à quel point ces jeunes talents ne manquent pas d'idées, et suivre l'aventure... Suivez le blog du Challenge ! You can also follow the twitter and like the facebook page :)

Et pour Pictanovo, la page Facebook c'est ici et le twitter !

Après ? Déjà au programme, l'intervention de Opening Out parmi les tuteurs de DOCU REGIO pour soutenir les producteurs de documentaires sélectionnés à peaufiner leur pitch (en anglais pour certains) et à le présenter devant une dizaine de chaines de télévision...


Vous l'aurez compris, j'aime mon "travail" surtout quand il consiste principalement à mettre les talents en valeur !!




jeudi 25 juillet 2013

I'm back on my blog :)

A priori, il semble qu'il m'a fallu... 4 mois pour retrouver le temps de papoter ici !

Evidement c'est parce que je papote ailleurs...

En cette période estivale, le rythme ralenti un peu et avant de faire LE break, je m'en vais partager avec vous quelques unes de mes aventures professionnelles, toujours (en tout cas je vais tout pour) en accord avec mes convictions... en espérant pouvoir tenir cette décision même quand l'activité sera à nouveau dense !

Pour ce 1er épisode... L'aventure BEEZ&CO

Alors oui, j'écris régulièrement sur le blog BEEZ&CO, puisque je fais partie des initiatrices du projet, mais je vous en ai déjà parlé ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici et ici !

Ces 4 derniers mois mes envies de partager ont fait naitre des articles sur...

Un million de révolutions tranquilles de Bénédicte Manier
- la façon de considérer l'entrepreneuriat en France
- le deuxième ouvrage de Nicolas Dubreuil "Mystères Polaires"
- l'arrivée du nouveau journal "L'Opinion"
- le livre de Davis Lacombled "Digital Citizen" et je ne suis pas peu fière du fait qu'il nous ait mentionné sur twitter en retour ...
- ce qu'une photo m'a inspiré comme réflexion(s)
et une petite piqure de rappel sur le business créé par Calure et Idris : LuckyLoc

Et le mois de juin a aussi été pour l'équipe BEEZ&CO l'occasion de préparer La Journée BEEZ&CO - 2ème édition, qui a eu lieu le 2 juillet dernier, avec pour thème : L'E-CO-SYSTEME créateur de valeur pour nos organisations ?
Une journée riche et dense avec l'intervention de Pierre Giorgini, président et recteur de l'Université Catholique de Lille, suivi d'un débat tournant avec une quinzaine d'intervenants de tous horizons comme Karim Toumi, fondateur de Spotwork et Isabelle Decoopman, professeure-chercheure à Skema Business School, dont David Lacombled était l'observateur.
L'après-midi a été rythmée par les ateliers Controverses et Co-Réflexions.

Pour découvrir les impressions des participants c'est ici et je vous invite aussi à lire les billets de Loren Armbrust sur La Journée et les ateliers de Co-Réflexions.

Si vous souhaitez potasser un peu le sujet de l'écosystème voici de quoi commencer la réflexion...

En attendant de vous faire découvrir les vidéos de cette 2ème édition de La Journée BEEZ&CO, je partage ici avec vous les impressions de ceux qui avaient participé à la 1ère édition (un merci en particulier à Sébastien de Hors Format qui a mis les moyens à disposition pour le montage de cette vidéo).


Et parce qu'il est important de ne pas oublier que l'on accomplie rarement les choses tout seul, je profite de cette petite bafouille pour remercier mes comparses sur cette aventure : Marie-Anne, Karine, Aurélie et Caroline, sans oublier Loren (qui nous rejoint au sein de l'équipe d'animation) et Matthieu qui a été plus que présent et efficace dans l'organisation et la réussite de cette journée !

A tout bientôt pour un autre épisode :)



lundi 18 mars 2013

Trouver le temps de créer du temps...

Est-ce sans doute parce que je suis sur plusieurs fronts en même temps que je n'arrive pas à trouver le temps de partager plus d'infos sur ce blog... Pourtant la liste des sujets et articles à rédiger s'allonge... Mais j'ai besoin, je l'avoue, d'un minimum de sommeil :)

En attendant... Voici un petit récapitulatif des articles que j'ai écris pour BEEZ&CO :

Là où je parle d'une vidéo de Nigel Marsh qui nous propose de savoir équilibrer sa vie professionnelle, familiale et personnelle... Tiens donc ?

Là où je cite une vidéo de Markus Mann qui partage son expérience pour nous dire combien être "ce que nous sommes" est important.

Là où je me demande si le Digital change la vie des Femmes.

Là où je me demande si le temps est un ami ou un ennemi, suite à la lecture d'une article de Julien Lucas... Tiens donc ? (again:))

Et enfin, là où avec humour, le dernière pub de Le Trèfle nous pose la question du Digital vs Papier.

A très vite, promis ! (Avec des nouvelles fraîches...) Dés que j'aurai créé un peu plus de temps :)


samedi 16 février 2013

Constitué de choses variées, de styles différents : Hétéroclite !

Ça bouge en ce début d'année...

Je pourrai très bientôt mettre en ligne quelques vidéos d'une de mes dernières missions et partager avec vous un grand projet dans lequel Opening Out s'investie grandement ! Mais tout vient à point pour qui sait attendre :)...

Investissement important aussi et toujours pour "BEEZ&CO, Le Business sous un autre regard" où je me régale à écrire régulièrement des articles sur de nombreux sujets et, vous le savez déjà, diversité est pour moi synonyme d'enrichissement !

Depuis début janvier sur le blog de BEEZ&CO...

Je vous ai présenté de jeunes entrepreneurs, qui font partie de ceux que j'ai eu la chance d'accompagner récemment, les créateurs de Fresc.

Je me suis interrogée sur Google, qui nous accompagne au quotidien et "numérise" l'histoire.

Je me suis rappelée combien l'esprit du don et notre capacité à toujours considérer d'abord l'autre comme un être humain, étaient primordiales.

J'ai découvert de beaux projets comme des "jardins de fenêtre", fait connaissance avec le monde des greeters et un peu évoquer le monde de la récup'.

J'ai partagé combien j'avais aimé entendre Michel Serres nous expliquer "Petite Poucette".

J'ai évoqué ceux qui entreprennent ici et ailleurs, et comment certaines entreprises vont toujours plus loin pour satisfaire le consommateur.

Enfin, j'ai partagé une vidéo qui nous rappelle combien ne pas perdre sa détermination d'enfant est important pour ne pas oublier que tout est possible !

Bonne lecture(s) !

Et comme chez Opening Out, on sait aussi travailler la, les, sa Voix... naturellement on intervient vocalement sur les projets de nos partenaires :) - (Ici pour Hors Format chez Pour Une Poignée de Pixels)...

Plantez des arbres :) !






lundi 7 janvier 2013

Vers l'infini et au-delà !


La musique est un “phénomène supernaturel universel”, c’est que que nous dit la Voix-off de cette vidéo…

Et, c’est effectivement ce que l’on peut se dire quand il arrive que l’émotion nous envahisse, malgré nous, à l'écoute d'un bon morceau de musique…
D'ailleurs je le pense, pour ma part, la musique est vitale. Elle nous permet bien souvent d’ouvrir nos champs créatifs… 

Et toute cette créativité…A, dirait-on, inspirée cette société suédoise, dont le nom est “Pause” (ça ne s’invente pas :)), qui a créé le cercueil musical !!!
C’est grâce à Cédric, qui a partagé cette information sur les réseaux sociaux, que j’ai appris la nouvelle !!!

Imaginez… Votre dernière demeure équipée d’enceintes qui vous permettront d’écouter de la musique quand vous serez de l’autre côté… Chouette ! Vous pourrez préparer votre playlist favorite… Et encore plus chouette, les personnes qui viendront se receuillir sur votre tombe, pourront savoir quel morceau est à l’écoute 6 pieds sous terre. Et encore plus de plus : vos visiteurs pouront ajouter des morceaux à votre playlist ! Soyez donc rassurés vous n’écouterez pas  les mêmes morceaux pour l’éternité… et surtout : plus aucune peur de rater, même après votre “départ”, les nouveautés musicales ! Le tout alimenté par des panneaux solaires…

Blague à part… Je vous partage tout cela car cette possibilité de cercueil musical m’interroge, doit-on vraiment tout inventer ?…  D’autant plus que le CataCombo Sound System ne coute que la bagatelle de 23500 € :)

Alors, allez-vous vous laisser tenter par cette "innovation"?

Ce petit clin d’oeil aura peut-être eu la mission de nous rappeler que la vie est courte et qu’il faut en profiter pour être créative(ve) maintenant :) sans oublier de le faire en musique !!!

Enjoy !!



dimanche 6 janvier 2013

D'un livre qui dit "Je t'aime" à la location de voiture pour 1€, il n'y a que quelques clics :)

Comme régulièrement... Déjà...

24 heures c'est peu :-)
Ecritures
Ecritures d'avril...
Pourquoi je n'ai pas le temps d'écrire sur ce blog ? :-)
Les news de juin :)
Be engaged, pour faire bouger les lignes

Voici le moment du petit récapitulatif des articles que j'ai écrit sur BEEZ&CO en décembre 2012...

Là où il s'agît de la soirée de lancement du dernier livre de Sandra Reinflet : Je T'aime (maintenant)
Là où des femmes se questionnent sur l'images des femmes, en général, dans les médias et pose cette question : Can you really be what you can't see ?
Là où le consommateur est acteur et invente la consommation collaborative
Là où le café est connecté :)
Là où je partage le fait qu'il est important, je pense, de veiller à ce que nos paroles, nos pensées, nos actes comptent et contribuent à créer de la valeur.
Là où il s'agît des créatifs culturels et d'un sociologue qui s'y intéresse.
Là où je me demande si "être" de la génération Y est une question d'âge ou de comportement.
Là où l'on découvre LuckyLoc.com, nouveau concept qui permet de louer une voiture pour 1€.

Bonnes lectures... en espérant que votre curiosité sera titillée :)